Porte de La Chapelle en périphérie parisienne. Sur les trottoirs, le long du tram et sous le périphérique, ils sont des milliers de réfugiés, à vivre ici. Ils dorment sous des tentes pour ceux qui ont cette chance dans l’attente de rentrer dans le centre humanitaire. Afghans, Libyens, Soudanais et de bien d’autres pays vivent ici, comme Mario et Gabriel, au rythme des évacuations, de la peur et de l’espoir. Dans ce microcosme périphérique ce sont avant tout des sourires et de l’entraide. Des amis se croisent, se retrouvent et vivent ensemble.